Merci
Un petit mot de cinq lettres. Qui peut sembler parfois un pas grand-chose face à ce que l'on a reçu. Et c'est ce petit mot que je voulais vous adresser à vous tous qui m'avez laissez un commentaire sur mon post abordant la maladie de ma grand-mère. Tous vos messages m'ont énormément touché. Merci.
Merci d'avoir partagé une part de vos souvenirs, même douloureux difficiles. Merci de votre soutien. Sentir que d'autres sont passés/passent par là, connaissent les mêmes doutes, souffrances et peurs face à cette maladie, eh bien, on se sent moins seuls.
Ce soir, j'avais envie de vous faire partager une petite anectode à propos de ma grand-mère. Pour chasser au loin cette image d'une femme qui s'efface peu à peu. Et faire revivre celle d'une femme qui ose, qui fonce.
C'est un souvenir d'une après-midi à la foire. Je devais avoir douze ans. Comme vous pouvez vous en douter mes grands-parents ne faisaient aucune attraction avec moi. J'avais ma préférée, le poulpe, qui l'est toujours d'ailleurs et que même seule j'a-do-rais. Mais cette année-là, j'ai eu envie d'essayer cette espèce de roue qui au départ tourne à l'horizontale pour terminer à la verticale. Seulment pas toute seule. Un peu par crainte et aussi parce que ce genre d'attractions ne se fait pas seul. Mais il était hors de question pour mes grands-parents de m'accompagner. Et alors, ma grand-mère a abordé deux jeunes filles, qui dans mes souvenirs devaient être un peu plus âgée, et qui étaient sur le point d'essayer cette attraction. Elle leur a demandé si je pouvais me joindre à elles et elles ont répondu oui. Et j'ai donc fait cette attraction avec elles deux, un peu gênée quand même du bagou de ma grand-mère. Un joli souvenir, aujourd'hui...
Et je terminerai cet article par une petite pensée pour Ingrid et sa famille. Parce que s'il est difficile de voir sa grand-mère atteinte de cette maladie, c'est encore plus difficile quand ce sont nos parents... Courage ma belle
Merci d'avoir partagé une part de vos souvenirs, même douloureux difficiles. Merci de votre soutien. Sentir que d'autres sont passés/passent par là, connaissent les mêmes doutes, souffrances et peurs face à cette maladie, eh bien, on se sent moins seuls.
Ce soir, j'avais envie de vous faire partager une petite anectode à propos de ma grand-mère. Pour chasser au loin cette image d'une femme qui s'efface peu à peu. Et faire revivre celle d'une femme qui ose, qui fonce.
C'est un souvenir d'une après-midi à la foire. Je devais avoir douze ans. Comme vous pouvez vous en douter mes grands-parents ne faisaient aucune attraction avec moi. J'avais ma préférée, le poulpe, qui l'est toujours d'ailleurs et que même seule j'a-do-rais. Mais cette année-là, j'ai eu envie d'essayer cette espèce de roue qui au départ tourne à l'horizontale pour terminer à la verticale. Seulment pas toute seule. Un peu par crainte et aussi parce que ce genre d'attractions ne se fait pas seul. Mais il était hors de question pour mes grands-parents de m'accompagner. Et alors, ma grand-mère a abordé deux jeunes filles, qui dans mes souvenirs devaient être un peu plus âgée, et qui étaient sur le point d'essayer cette attraction. Elle leur a demandé si je pouvais me joindre à elles et elles ont répondu oui. Et j'ai donc fait cette attraction avec elles deux, un peu gênée quand même du bagou de ma grand-mère. Un joli souvenir, aujourd'hui...
Et je terminerai cet article par une petite pensée pour Ingrid et sa famille. Parce que s'il est difficile de voir sa grand-mère atteinte de cette maladie, c'est encore plus difficile quand ce sont nos parents... Courage ma belle